Interview SOCAN

« Composer, c’est organiser des sons dans l’espace et le temps; mais lorsque tu fais de la musique à l’image, ça implique une autre forme de gestion du temps », précise-t-il. « On est à la fin de la chaîne alors on doit payer pour tous les retards de la production. En même temps, il y a quelque chose de stimulant de savoir que notre travail peut changer le ton d’une scène. Et puis le stress, ce n’est pas toujours négatif; ça peut être stimulant. Comme dit souvent mon ami Michel Cusson: pas de deadline, pas de musique ! »

Mon entrevue pour le magazine SOCAN avec Nicholas Tittley est en ligne ici (english version here).

 
Previous
Previous

L’intelligence artificielle décodée

Next
Next

My music on Hanging Out With Audiophiles